«  Ce n’est pas encore Saint-Tropez, ni Wissant mais c’est quand même un marché immobilier très particulier.  » Lorsque l’on questionne Richard Glinkowski, agent immobilier dans le Calaisis, sur le marché escallois, le constat est rapidement fait : «  C’est simple, les quelques maisons que j’ai vendues à Escalles sont passées de résidences principales à résidences secondaires.  »
 Avec plus de 40 % de logements secondaires, le village...

